Biologic width around one- and two-piece titanium implants - Implant n° 2 du 01/06/2002
 

Implant n° 2 du 01/06/2002

 

Implant a lu - Revue de presse

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Sébastien Molko  

Cette étude examine histomorphométriquement les dimensions des tissus mous autour des implants. Différents facteurs ont été analysés : l'état de surface, le type d'implant - en une partie (non enfoui) et en deux parties (présence d'un pilier transmuqueux) -, la mise en place des implants en un temps ou deux temps chirurgicaux.

Cinquante-neuf implants ont été ainsi placés dans les aires mandibulaires édentées de 5 chiens. Les implants avaient un diamètre de 4,1 mm et une...


Cette étude examine histomorphométriquement les dimensions des tissus mous autour des implants. Différents facteurs ont été analysés : l'état de surface, le type d'implant - en une partie (non enfoui) et en deux parties (présence d'un pilier transmuqueux) -, la mise en place des implants en un temps ou deux temps chirurgicaux.

Cinquante-neuf implants ont été ainsi placés dans les aires mandibulaires édentées de 5 chiens. Les implants avaient un diamètre de 4,1 mm et une longueur de 9 mm. La partie apicale de chaque implant avait subi un traitement de surface pour augmenter la rugosité, et la partie coronale était de type usiné. Différents niveaux d'enfouissement ont été testés afin que la limite rugueux/lisse se trouve au niveau juxta-osseux ou 1 mm sous le niveau osseux.

Les chiens ont été sacrifiés à 6 mois.

Les résultats montrent que l'espace biologique pour les implants en une partie, avec la limite rugueux/lisse au niveau de la crête osseuse, était significativement inférieur à celui des implants en deux parties qui avaient leur interface placée au niveau ou en dessous de la crête osseuse. De plus, pour les implants en une seule pièce, le sommet de la gencive marginale était placé significativement plus en coronaire.

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