Subjective need for implant treatment among middle-aged people in Sweden and Denmark - Implant n° 3 du 01/08/2002
 

Implant n° 3 du 01/08/2002

 

Implant a lu - Revue de presse

Prothèse

Thierry Neimann  

Cet article présente les résultats d'une étude portant sur la prévalence des traitements implantaires et les besoins subjectifs de ce type de traitement pour des groupes d'âge moyen en Suède et au Danemark, deux pays où les modes de vie moyen se ressemblent, mais pas les systèmes d'assurance dentaire.

Le groupe suédois comprend 1 001 sujets âgés de 55 à 79 ans. Le groupe danois est constitué de 1 175 personnes âgées de 45 à 69 ans. Chaque personne de chaque groupe...


Cet article présente les résultats d'une étude portant sur la prévalence des traitements implantaires et les besoins subjectifs de ce type de traitement pour des groupes d'âge moyen en Suède et au Danemark, deux pays où les modes de vie moyen se ressemblent, mais pas les systèmes d'assurance dentaire.

Le groupe suédois comprend 1 001 sujets âgés de 55 à 79 ans. Le groupe danois est constitué de 1 175 personnes âgées de 45 à 69 ans. Chaque personne de chaque groupe reçoit un questionnaire similaire portant sur sa situation dentaire, les besoins subjectifs de traitement implantaire et les antécédents personnels de traitement avec implants dentaires depuis 10 ans.

Les choix de méthodes statistiques d'évaluation des résultats sont présentés.

- 4,8 % des Suédois rapportent qu'ils ont reçu des implants dentaires contre 2,5 % des Danois (soit environ 2 fois plus) ;

- dans le groupe des Suédois, l'âge est significativement associé à la demande de traitement implantaire, ce qui se traduit par un intérêt décroissant au fur et à mesure du vieillissement ;

- pour le groupe des Danois, les femmes montrent un plus grand intérêt pour les traitements implantaires que les hommes.

Le besoin subjectif d'implants dentaires pour ceux présentant un édentement non compensé était significativement plus élevé pour les Danois malgré des cotisations d'assurance plus élevées.

Globalement, aucune différence n'a été relevée entre les deux nationalités pour la demande subjective d'implants dentaires parmi les groupes porteurs de prothèses partielles ou complètes.

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